Un mot qui sonne bizarrement dans ma bouche, quand on connaît mes facultés sportives... Mais je me permets de l'employer tout de même quand il s'agit de mon activité favorite, j'ai nommé la couture.
Comme pour le sport, tout est question d'entraînement, donc. Je suis bien partie dans le renouvellement des garde-robes, je continue.
J'ai sorti de mon stock une toile marron achetée en décembre en vue d'un pantalon. Et tranquillement sur 2 jours, ça s'est réalisé avec l'aide de mes 2B. Non pas mes Boys, mes Bernina.
Bien à ma taille puisque sur mesure, donc confortable, des surpiqures au point triple, un ourlet vraiment invisible avec le point invisible (ça tombe bien) , je suis satisfaite du résultat avec ce patron du Burda de Décembre 2006; mais, car il y a un mais...
Le cliché de la fringue en situation anatomique ne me sied pas (le mot est léger) du tout du tout. Alors pour épargner les regards sensibles, je n'offrirai qu'une photo à plat sur le froid carrelage.
Vous avez dit : Dommage? non non.
Ce qui n'est pas dommage non plus, c'est qu'il s'harmonise plutôt bien avec mon manteau patch que j'endosse invariablement quand je sors.