Une série de nombres, voila de quoi retenir mon attention, et me donner l'occasion de repasser par ici.
Il était à peine plus de 12h12 quand j'ai pris ces clichés
et la température n'était pas douce.
Ca chantait fort dans l'arbre tout dénudé, histoire de se réchauffer ou parce que je dérangeais?
en venant faire quelques clichés des Rouilles qui se pelotonnent.
Je n'ai pas encore exploité les douzaines de clichés que je fais régulièrement pour suivre l'évolution de mes textiles laissés en extérieur, mais c'est assez plaisant d'observer les mouvements permanents et les attitudes obtenues lors des agrippements aléatoires. A suivre ...