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21 juillet 2009
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11:00
Quelques images d'un WE au plein coeur de Juillet,
Balade sur la plage, très aérante
dans les dunes d'Annoville,
site intéressant pour les sportifs
les "Sorties de Bains", 7ème festival des arts de la rue de Granville, le public était bien là, malgré la météo capricieuse
le programme était dense, voici ma petite sélection en images.
Du cirque avec Tetouze la Bouffonnerie cyclette
qui a commencé ...humide
La Compagnie (Rêve)²
"Un spectacle de cirque de rue, contemporain, tout public. Une création aérienne où on découvre une maison suspendue et un jardin au bord du vide. Léger et poétique, juste un petit moment de rêve dans notre vie de folie".
Naima, une acrobate, danseuse, plutot trapeziste, prete a presque tout et surtout
a s’envoler et retomber...en toute confiance.
Tiko, un acrobate, danseur, plutot porteur, pret a tout et surtout a faire voltiger sa partenaire. A la limite de l’impossible en toute confiance...
(extrait du site)
La Chorale de Saint Fulbert : "Si tous les champs du monde"
Dans un genre décalé...
Duo inattendu entre un danseur et une pelleteuse...
Dominique BOIVIN, chorégraphe :
"Est-ce un fantasme d'enfant ? Est-ce l'idée de se retrouver, après toutes ces années, avec sa grue de gamin ?
Par son gigantisme, la machine crée une tension avec le corps du danseur. C'est aussi une rencontre inattendue, un duo entre
fer et chair. J'utilise le bras de la pelleteuse pour sa fonctionnalité et sa dynamique, mais aussi comme un bras humain qui prend, repousse ou cajole ! La rotation de la machine est un mouvement ample , spectaculaire mais il peut aussi évoquer un manège.
Le godet, dont la fonction est de gratter, de forer, de transporter et de déverser, offre une extension poétique :une main
qui porte, qui élève et qui protège. Si parfois j'imagine la machine comme un être humain rude et imparfait - à l'image de Boris KARLOFF dans Frankenstein - je tente également de toucher au merveilleux , au vertige du rêve de La Belle et la Bête .
Une machine, dans sa puissance, son élégance et sa beauté peut aussi bien évoquer les travaux d'Hercule que le monde industriel peint par Fernand LÉGER.La pelleteuse et le danseur ? Un début d'opéra, un chant lyrique et onirique quasi universel qui pourrait nous faire rappeler l'ode amoureuse d'un Roméo pour sa Juliette."
Je n'ai pas réussi à voir cette danse exceptionnelle une 2ème fois, mais voici encore d'autres images, auxquelles il manque la très belle musique...
Balade sur la plage, très aérante
dans les dunes d'Annoville,
site intéressant pour les sportifs
les "Sorties de Bains", 7ème festival des arts de la rue de Granville, le public était bien là, malgré la météo capricieuse
le programme était dense, voici ma petite sélection en images.
Du cirque avec Tetouze la Bouffonnerie cyclette
qui a commencé ...humide
La Compagnie (Rêve)²
"Un spectacle de cirque de rue, contemporain, tout public. Une création aérienne où on découvre une maison suspendue et un jardin au bord du vide. Léger et poétique, juste un petit moment de rêve dans notre vie de folie".
Naima, une acrobate, danseuse, plutot trapeziste, prete a presque tout et surtout
a s’envoler et retomber...en toute confiance.
Tiko, un acrobate, danseur, plutot porteur, pret a tout et surtout a faire voltiger sa partenaire. A la limite de l’impossible en toute confiance...
(extrait du site)
La Chorale de Saint Fulbert : "Si tous les champs du monde"
Dans un genre décalé...
La Compagnie Beau Geste dans ses "Transports exceptionnels".Sous la houlette d’un curé en soutane d’une laïcité résolue, la Chorale de St Fulbert offre une galerie de portraits épicés, tout droits sortis d’un imaginaire pseudo-rural, autour de chansons bricolées et naïves qui célèbrent les petits éléments du quotidien avec un optimisme indéfectible.
L’amateurisme, la bonne volonté et les petites mesquineries derrière les grands élans représentent ses principaux ingrédients derrière la façade des chansons hardiment chantées et chorégraphiées.(extrait du site)
Duo inattendu entre un danseur et une pelleteuse...
Dominique BOIVIN, chorégraphe :
"Est-ce un fantasme d'enfant ? Est-ce l'idée de se retrouver, après toutes ces années, avec sa grue de gamin ?
Par son gigantisme, la machine crée une tension avec le corps du danseur. C'est aussi une rencontre inattendue, un duo entre
fer et chair. J'utilise le bras de la pelleteuse pour sa fonctionnalité et sa dynamique, mais aussi comme un bras humain qui prend, repousse ou cajole ! La rotation de la machine est un mouvement ample , spectaculaire mais il peut aussi évoquer un manège.
Le godet, dont la fonction est de gratter, de forer, de transporter et de déverser, offre une extension poétique :une main
qui porte, qui élève et qui protège. Si parfois j'imagine la machine comme un être humain rude et imparfait - à l'image de Boris KARLOFF dans Frankenstein - je tente également de toucher au merveilleux , au vertige du rêve de La Belle et la Bête .
Une machine, dans sa puissance, son élégance et sa beauté peut aussi bien évoquer les travaux d'Hercule que le monde industriel peint par Fernand LÉGER.La pelleteuse et le danseur ? Un début d'opéra, un chant lyrique et onirique quasi universel qui pourrait nous faire rappeler l'ode amoureuse d'un Roméo pour sa Juliette."
Je n'ai pas réussi à voir cette danse exceptionnelle une 2ème fois, mais voici encore d'autres images, auxquelles il manque la très belle musique...
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